PROTOCOLE D’HYGIÈNE, SOINS ET PRÉVENTIONS DES ANIMAUX MÉDIATEURS

Rôle du vétérinaire

L’une des grandes préoccupations lors de l’introduction d’un chien dans un établissement public, est avant tout son hygiène, et l’appréhension que l’animal soit porteur de germes.

Raison pour laquelle, il est impératif qu’une clinique vétérinaire suive régulièrement l’animal sur le plan santé, les vaccins, les maladies et les traitements parasitaires.

La clinique vétérinaire de Cabestany (22 avenue du Général De Gaulle, 66330 Cabestany), est garante, via le médecin vétérinaire Docteur Tane, de la bonne santé de Nolo.

Aurélie Dubourdieu, l’intervenante, doit faire 4 fois par an, une visite à cette clinique vétérinaire, où sera délivré un certificat de bonne santé du chien. Nolo sera également vermifugé 4 fois dans l’année et sera traité contre les parasites tous les mois.

Rôle de l’intervenant professionnel

L’intervenant professionnel en médiation animale, Aurélie Dubourdieu, propriétaire de Nolo, chien médiateur, est responsable à part entière de l’éducation de son animal, qui a reçu une formation spécifique.

L’intervenante aura toujours sur elle, le carnet de santé et les différents documents de son chien médiateur.

Règles à retenir

• Introduire uniquement des chiens à jour de leurs vaccins, vermifuges et traitements antiparasitaires.
• Toujours faire laver les mains aux bénéficiaires, avant et après avoir manipulé l’animal.
• Le chien n’aura pas accès aux cuisines, aux endroits où sont entreposés les aliments, aux endroits où sont pris les repas. Il n’aura pas accès au jardin potager.
• Aucun aliment (produits laitiers non pasteurisés, œufs crus, par lesquels le chien peut attraper ou devenir porteur de maladies, dont certaines zoonoses), ne sera donné à l’animal, hormis les aliments fournis par l’intervenant.
• Le chien n’aura pas le droit de fouiller les poubelles.
• Il ne sera pas permis que l’animal lèche le visage, la bouche.
• Il sera prêté une attention particulière à l’hygiène et à l’état de santé de l’animal. Le chien sera retiré du programme de zoothérapie, lorsqu’un problème de santé surviendra.